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Ces hommes qui font honneur à la Republique.Douane. Djama Abdillahi Awaleh, chef brigade à la Free Z

  • Photo du rédacteur: Djiboutitoday Djiboutitodaydjiboutitoday
    Djiboutitoday Djiboutitodaydjiboutitoday
  • 26 déc. 2016
  • 2 min de lecture

L'affaire du soir.Son nom ne vous dira rien.Mais Djama Abdillahi Awaleh, chef de brigade à la Free Zone est entré dans l'histoire des douaniers djiboutiens. Son histoire longtemps en dit long sur la vigilance de ce jeune douanier, qui un matin de mai dernier insiste pour ouvrir un conteneur contenant officiellement dans le manifeste de la marchandise du riz mais était dissimilé dans les sacs de riz une grosse cargaison d'or provenant d'un pays africain et destiné au marché du Golfe de manière illégale.Armé de son expérience, Djama Abdillahi Awaleh saisi la marchandise et appelle en renfort ses subordonnés. L'affaire se propage comme une traînée de poudre dans tout l'enceinte de la Zone Franche.Les propriétaires de la marchandise sont appelés absents et le jeune douanier met la main sur ce véritable trésor de caverne d'Ali Baba. Qui de plus, est évolué à un million de fois son modeste salaire.L'histoire de Djama Abdillahi Awaleh fait partie de ses innombrables histoires de fonctionnaires au service de la République et qui chaque jour font face à toutes sortes de tentations pour porter haut et fort l'insigne qu'ils portent de manière quotidienne. Djama Abdillahi Awaleh attend patiemment sa distinction humblement méritée, il est un cas d'école pour bon nombre de douaniers, gendarmes, policiers et inspecteurs d’hygiènes qui doivent chaque jours redorer le blason de leur institutions et faire face à toutes sortes d'actes malveillant capable de ternir l'image de nos infrastructure portuaires et aéroportuaires.Si Djama Abdillahi Awaleh a été capable de stopper cette contrebande digne de filières mafieuse, d'autres doivent se ressaisir et montrer sur le terrain qu'ils font face à la recrudescences de la drogue sur le terrain.Parce qu'il lutter contre l'herbe et toutes sortes de drogues se fait en principe dans les différents points frontaliers. il immorale de laisser l'herbes, cette drogue qui tue notre jeunesse se trouver devant les lycées et universités de la capitale. Les différentes corps doivent se mettre autour d'une table et combattre en harmonie.Et ce n'est surement pas une ou deux saisies de drogue qui peut arrêter la courses effrénée des vendeurs de cette drogue.Il faut dans nos institutions des milliers de Djama Abdillahi et l’état doit les décorer et les motiver.

 
 
 

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